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Compte rendu Journée magique ( 1ére partie )

1ére Journée Marchand de Trucs

  • 09h : serrage de pognes, café et pains aux chocolat.

  • 10h-midi : conférence de Vincent HEDAN

Une 1ère partie est consacrée aux cartes avec d’excellentes routines avec le jeu Multieffect.

La deuxième partie de la conférence est basé sur le mentalisme, en commençant par ” Dégustation

  • 3 verres à pied
  • 3 bloc-notes
  • 3 spectateurs
  • 3 boulettes de papier froissées, une dans chaque verre.

Sur chacune, le nom d’un vin a été inscrit par un spectateur, à distance suffisamment éloignée du regard de Vincent, qui avait d’ailleurs les yeux bandés. Et pourtant… Il ne tardera pas à deviner les vins et leur millésime, en les attribuant correctement à leur propriétaire ! La solution est simple, ingénieuse autant qu’hygiénique !

Seven

Ensuite un tour basé sur : Seven ; Film de David Fincher sorti en 1996.

Pour rappel, c’est l’histoire d’un assassin qui décide de baser ses 7 meurtres sur les 7 pêchés capitaux… en gros : un joli conte pour enfants ! Les 7 pêchés capitaux (gourmandise, avarice, paresse, orgueil, luxure, envie, et colère) sont matérialisés par 7 petits objets que renferment autant de petites boîtes en bois. Ainsi la plume d’un oreiller symbolise la paresse, un bonbon la gourmandise, un préservatif… la luxure, au choix ! Pour la colère, Vincent nous suggère avec un sourire : un drapeau américain !

Bref, une spectatrice est priée de le rejoindre et assister… au carnage !

Les 7 boîtes ouvertes sont disposées en un cercle avec le papier de Delphine au centre ; papier sur lequel la spectatrice a inscrit son choix. Vous devinez sans mal l’issue du tour. Après élimination de Delphine… oups ! des boîtes, on aboutit au choix de Delphine.*

Haïkus

Un 3ème tour encore, qui sent bon la fleur de lotus et l’odeur du sashimi : Haïkus. Vous l’aurez deviné, un tour Made in Japan… oups ! Made in Vincent !

Un Haïku est un petit poème trés bref visant à dire l’évanescence des choses. Rien que ça ! Incitant à la réflexion, il est comme une sorte d’instantané. C’est au lecteur qu’il revient de se créer sa propre image. Ainsi le Haïku ne doit pas décrire mais évoquer. Plus qu’un long discours, voici un exemple, écrit par Matsus Bashõ : Un viel étang / Une grenouille saute / Le bruit de l’eau.

Donc, une page du carnet est choisie, et le spectateur est invité à lire et mémoriser le haïku. A charge du magicien, ou du mentaliste plutôt, de capter la pensée et le dessin évocateur du haïku. Le dessin coïncidera évidemment.

Notes

Merci à Swan pour son article, article dispo dans son intégralité sur le site de la FFAP, et ca se passe ici !